Rien ne vaut une petite robe pour se requinquer.
C'était la première friperie que l'on voyait depuis le début du voyage. J'ai pensé que sans doute les étudiantes de l'université de Chiang Mai la fréquentaient. - En voyage, j'aime bien m'arrêter dans les villes universitaires, car on y trouve la plupart du temps des librairies de livres usagés ou non, des cafés, des petits commerces intéressants, parfois même des friperies comme ici et souvent une vie culturelle plus dynamique qu'ailleurs. Je constate que l'instruction et ses temples amènent une belle vitalité dans une ville.
Chiang Mai ne fait pas exception et je suis tombée sur une petite boutique devant laquelle on avait placé un mannequin revêtu d'une jolie robe marine à pois blancs qui rappelle les années 40. En la voyant, j'ai pensé aux vieux films italiens en noir et blanc ou encore à l'Indochine si bien décrite par Marguerite Duras. Ce qu'elle me parlait cette robe ! François a insisté un peu (juste assez) devant mon hésitation. - Depuis août dernier, j'ai une jambe pas mal amochée par une infection à la staphylocoque dorée et je n'ai pas encore appris à vivre avec ma cicatrice. - J'ai finalement essayée la robe à pois et elle était parfaite, comme si elle avait été taillée pour moi. Au diable la vilaine cicatrice !
Plus tard, au marché de nuit où il est agréable de fouiner, même si on y retrouve un peu toujours les mêmes babioles, nous avons négocié une petite ombrelle rouge avec un petit personnage japonais (1) pour compléter mon look asiatique.
Y'en a marre des vêtements techniques à la fin ! C'est bien pratique, mais complètement dénué de style et de joliesse. Me voilà débarrassée de mon complexe de jambe avec, en prime, un petit look rétro. Tout cela pour la modique somme de 10 $. Une aubaine.
(1) J'ai remarqué que les jeunes femmes ici affichent un penchant pour les toutous. Quelques audacieuses vont jusqu'à se coiffer d'un cerceau affublé d'oreilles de chat en peluche ! Mais pour cet accessoire, je me suis gardé une petite gêne.
C'était la première friperie que l'on voyait depuis le début du voyage. J'ai pensé que sans doute les étudiantes de l'université de Chiang Mai la fréquentaient. - En voyage, j'aime bien m'arrêter dans les villes universitaires, car on y trouve la plupart du temps des librairies de livres usagés ou non, des cafés, des petits commerces intéressants, parfois même des friperies comme ici et souvent une vie culturelle plus dynamique qu'ailleurs. Je constate que l'instruction et ses temples amènent une belle vitalité dans une ville.
Chiang Mai ne fait pas exception et je suis tombée sur une petite boutique devant laquelle on avait placé un mannequin revêtu d'une jolie robe marine à pois blancs qui rappelle les années 40. En la voyant, j'ai pensé aux vieux films italiens en noir et blanc ou encore à l'Indochine si bien décrite par Marguerite Duras. Ce qu'elle me parlait cette robe ! François a insisté un peu (juste assez) devant mon hésitation. - Depuis août dernier, j'ai une jambe pas mal amochée par une infection à la staphylocoque dorée et je n'ai pas encore appris à vivre avec ma cicatrice. - J'ai finalement essayée la robe à pois et elle était parfaite, comme si elle avait été taillée pour moi. Au diable la vilaine cicatrice !
Plus tard, au marché de nuit où il est agréable de fouiner, même si on y retrouve un peu toujours les mêmes babioles, nous avons négocié une petite ombrelle rouge avec un petit personnage japonais (1) pour compléter mon look asiatique.
Y'en a marre des vêtements techniques à la fin ! C'est bien pratique, mais complètement dénué de style et de joliesse. Me voilà débarrassée de mon complexe de jambe avec, en prime, un petit look rétro. Tout cela pour la modique somme de 10 $. Une aubaine.
(1) J'ai remarqué que les jeunes femmes ici affichent un penchant pour les toutous. Quelques audacieuses vont jusqu'à se coiffer d'un cerceau affublé d'oreilles de chat en peluche ! Mais pour cet accessoire, je me suis gardé une petite gêne.

Il te manque le toupette pour aller avec l'époque...
RépondreSupprimerhttp://www.milanihair.com/blog/wp-content/uploads/2011/04/1950s-hairstyles.jpg
Alain L
Je te comprends...une petite robe, une ombrelle et tout va mieux :-)
RépondreSupprimerFrançois ? Une petite robe avec ça ?
La bjise
Corinne
Mieux vaut bien assumer ses cicatrices crois-moi :-)
RépondreSupprimerTu es si belle mon amie!
Bonne journée
Ka.xx
@Alain : très jolie coiffure, mais puisque je ne me coiffe jamais...
RépondreSupprimer@Corinne : je savais que tu comprendrais soeur de robe Barbeau
@Karine : merci, c'est gentil. Ensemble assumons les traces de nos guérisons victorieuses :-)
J'veux la même!!!!
RépondreSupprimerHi hi hi! :-) Je te la prête car elle est unique.
RépondreSupprimerTes amies ont bien raison, ya rien d'autre à faire que de vivre avec ses cicatrices, d'autant qu'on peut les maquiller avant qu'elles s'atténuent.
RépondreSupprimerTu es certaine qu'il y a des pois blancs sur cette robe?
Jean-Claude, les pois sont si petits qu'on les voit à peine mais ils sont bien là.
RépondreSupprimerTon sourire est en parfaite harmonie avec celui des locaux. Tu es radieuse, vive la retail therapy et le retro-chic! :)
RépondreSupprimerMerci Manuela. :-)
RépondreSupprimerBelle, belle voisine. Ça te va beaucoup mieux que les vêtements techniques. Je suis certaine que personne ne remarquera ta cicatrice, surtout si tu gardes ce sourire.
RépondreSupprimerNatalie xx
Merci gentille voisine de m'encourager de même. xx
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