samedi 9 février 2013
Brochettes à domicile
C’est comme nos livreurs à domicile, mais ils viennent avec le BBQ.
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Dur métier que de se faire enfumer à longueur de journée par des températures de plus de 35 degrés.
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En route vers d’autres clients.
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Quelques résidents du quartier Thonburi
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| Vendeuse de fruits |
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| Pour Manuela, voici l'intérieur d'une des maisons que l'on voyait sur le bord du canal. |
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| La sieste du barbier et de son chat qui attend pour se faire rafraîchir les moustaches. |
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| En regardant les affiches sur ses mur, on se demande à quoi il rêve, à Bouddha, au roi RAMA IX ou aux demoiselles de ses calendriers. |
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| J'aime bien la patine de l'extension sur laquelle est branchée la télé et le frigo. |
vendredi 8 février 2013
Curiosités de Thonburi
Créations d'un buveur de bière et artiste de la récupération qui se fabrique des ventilateurs.
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| Ce soir c'est la série "Six feet under water" à la télé. |
Balade dans le quartier Thonburi - Bangkok
Une mégapole comme Bangkok est tout de même une méchante bibite à apprivoiser. Il faut y mettre le temps. Y circuler peut s'avérer assez complexe, surtout en taxi ou en bus. Mais un des grands plaisirs est de se déplacer en bateau-bus sur le Chao Phraya ou encore dans les petits canaux (appelés khlongs). Je passerais une journée complète à tout simplement déambuler sur les flots pour découvrir les gratte-ciel comme les petites maisons traditionnelles en teck. Celles-ci sont malheureusement de moins en moins nombreuses cependant.
Traverser une rue à Bangkok est une expérience en soi ; pendre l'autobus également. Pour atteindre le quartier Thonburi, situé de l'autre côté du fleuve (là où l'on peut justement voir ces fameuses maisons traditionnelles sur pilotis), nous avons pris un bus local. C'était notre première expérience en bus public ici, une sorte de pratique en vue de notre départ dans quelques heures pour la gare centrale d'autobus alors que nous serons chargés comme des mules (ou comme des voyageurs).
L'exercice a été positif. D'abord, ça coûte presque rien et puis l'autobus nous a déposés exactement là où nous voulions aller. Mon homme vérifiait régulièrement sur son iPod si le bus allait bien dans la bonne direction. En ce qui me concerne, j'étais perdue juste assez, le nez en l'air, regardant tout partout. - Je voyage avec un homme-boussole, ce qui est fort pratique vous en conviendrez, voir même essentiel dans mon cas. - Nous avons donc flâné tout l'après-midi dans le charmant quartier Thonburi construit pratiquement sur un marécage que plusieurs canaux traversent. Un genre de Venise asiatique, la superbe en moins.
Nous avons été fascinés par la quantité de poissons grouillant dans une eau à l'apparence pour le moins douteuse. Nous avons vu des Thaïlandais nourrir ces immenses (poisson-chats ?) si nombreux que ça en était presque dégoûtant, je vous dirais. Pourtant, non loin de là, des enfants se baignaient avec insouciance et un bonheur évident dans cette soupe au poisson. Moi et mes yeux d'occidentale, aussi ! Cachez ces poissons que je ne saurais voir...
Traverser une rue à Bangkok est une expérience en soi ; pendre l'autobus également. Pour atteindre le quartier Thonburi, situé de l'autre côté du fleuve (là où l'on peut justement voir ces fameuses maisons traditionnelles sur pilotis), nous avons pris un bus local. C'était notre première expérience en bus public ici, une sorte de pratique en vue de notre départ dans quelques heures pour la gare centrale d'autobus alors que nous serons chargés comme des mules (ou comme des voyageurs).
L'exercice a été positif. D'abord, ça coûte presque rien et puis l'autobus nous a déposés exactement là où nous voulions aller. Mon homme vérifiait régulièrement sur son iPod si le bus allait bien dans la bonne direction. En ce qui me concerne, j'étais perdue juste assez, le nez en l'air, regardant tout partout. - Je voyage avec un homme-boussole, ce qui est fort pratique vous en conviendrez, voir même essentiel dans mon cas. - Nous avons donc flâné tout l'après-midi dans le charmant quartier Thonburi construit pratiquement sur un marécage que plusieurs canaux traversent. Un genre de Venise asiatique, la superbe en moins.
Nous avons été fascinés par la quantité de poissons grouillant dans une eau à l'apparence pour le moins douteuse. Nous avons vu des Thaïlandais nourrir ces immenses (poisson-chats ?) si nombreux que ça en était presque dégoûtant, je vous dirais. Pourtant, non loin de là, des enfants se baignaient avec insouciance et un bonheur évident dans cette soupe au poisson. Moi et mes yeux d'occidentale, aussi ! Cachez ces poissons que je ne saurais voir...
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| Les poissons-chats semblent adorer les crottes de fromage. |
jeudi 7 février 2013
Sourissimo
Partout, les Thaïlandais nous sourient. Comment font-ils pour sourire encore et encore avec ces hordes de touristes qui débarquent sans arrêt depuis des années !?... Le mystère reste entier. Les gens de Bangkok sont gentils et accomodants, souriants et aimables. Le bouddhisme ferait-il des miracles ? Je devrais peut-être m'y mettre... En fait, quand je regarde leur Dieu au sourire énigmatique et le nôtre, le visage en sang et la mine d'un moribond, je me demande si ceci n'expliquerait pas cela...
(J'avoue que depuis que j'ai écrit cela, comme pour me faire mentir, nous sommes tombé sur deux airs de boeuf et c'était deux serveuses dans notre premier restaurant un peu plus chic. Ça nous apprendra aussi à manger ailleurs que dans des bouibouis. Comme si on y mangeait mieux, même pas !)
La cuisine thaïlandaise est merveilleuse. Un peu trop de viande au menu à notre goût, mais tout est si savoureux ! À Rome, on fait comme les romains, alors on se bourre la face de viande.
(J'avoue que depuis que j'ai écrit cela, comme pour me faire mentir, nous sommes tombé sur deux airs de boeuf et c'était deux serveuses dans notre premier restaurant un peu plus chic. Ça nous apprendra aussi à manger ailleurs que dans des bouibouis. Comme si on y mangeait mieux, même pas !)
La cuisine thaïlandaise est merveilleuse. Un peu trop de viande au menu à notre goût, mais tout est si savoureux ! À Rome, on fait comme les romains, alors on se bourre la face de viande.
mercredi 6 février 2013
mardi 5 février 2013
Hocine m'amuse 1
Visite au Bangkok Art & Culture Center, très bel endroit inspirant. J'aime faire des photos dans les salles d'exposition. Ce sont souvent des lieux très graphiques, mais malheureusement de plus en plus interdits aux appareils photo. Curieusement, les téléphones avec caméra sont acceptés. Je me suis donc servi de mon nouveau iPod sans problème.
Hocine est un très bon modèle et nous aimons travailler ensemble. Nous nous étions beaucoup amusés en Inde lors de notre voyage en 2007. Nous avons donc passé une bonne partie de l'après-midi à faire des photos et des petits films sous le regard amusé des gardiens et des visiteurs. Voici une première série. D'autres suivront dans les prochains jours.
lundi 4 février 2013
À la recherche du chien perdu
Tout au long de notre voyage en Inde, il y a deux ans, notre amie Karine nous a répété qu'elle voulait adopter un chien. Elle disait que nous pourrions nous en occuper puisque ses horaires de travail sont trop variables mais qu'elle viendrait le visiter régulièrement. Une super idée, quoi!
En arrivant à Bangkok, en descendant du taxi, la première image que j'ai eue devant moi m'a rappelé ce rêve de Karine. Alors, je me suis dit pourquoi ne pas partir à la recherche de ce chien mythique. Tout au long de ce voyage, je vais tenter d'immortaliser les chiens qui pourraient devenir le compagnon canin de notre Kanine nationale! Si vous voulez participer, vous pouvez tenter de les baptiser en utilisant les commentaires.
En arrivant à Bangkok, en descendant du taxi, la première image que j'ai eue devant moi m'a rappelé ce rêve de Karine. Alors, je me suis dit pourquoi ne pas partir à la recherche de ce chien mythique. Tout au long de ce voyage, je vais tenter d'immortaliser les chiens qui pourraient devenir le compagnon canin de notre Kanine nationale! Si vous voulez participer, vous pouvez tenter de les baptiser en utilisant les commentaires.
Bangkok 2.0
Pour la deuxième fois nous nous retrouvons en Thaïlande de façon accidentelle. Il y a dix ans, nous étions en transit pour un vol vers Bali, mais nous sommes resté bloqués à Bangkok car notre passeport n'avait pas les six mois requis pour pouvoir entrer en Indonésie. Nous avons donc dû passer une dizaine de jours ici le temps de recevoir nos nouveaux passeports.
Cette fois, nous projetions d'acheter nos billets sur place pour la Birmanie. Mais après nous être informés davantage sur le tourisme là-bas, nous avons convenu de ne pas y aller puisque depuis deux ans le nombre de touristes a explosé et que les birmans ne réussisisent pas à répondre à la demande. Cela crée une inflation extraordinaire et demande trop de réservations et de préparation à notre goût. - Nous aimons bien improviser, aller et venir à notre gré. - Nous réfléchissons encore à notre itinéraire, c'est pour vous dire.
Le plus étrange, c'est que lors de ces deux séjours impromptus en Thaïlande, nous y avons retrouvé avec bonheur nos amis Hocine et Bénédicte. Depuis notre arrivée à Bangkok, nous avons bien profité de leur présence soit en nous baladant tous les quatre dans Bangkok, soit en buvant une Chang à l'apéro ou en partageant nos savoureux repas thaïs. Dans la rue comme dans les restos, la nourriture est toujours excellente.
Ces séjours improvisés en Thaïlande nous laissent quand même un peu perplexes. D'autant plus que les deux fois nous y avons croisé nos amis!... Comme si la vie nous rappelait qu'il est temps de nous retrouver.
Hocine et Béné sont maintenant rentrés chez eux à Orchaise et le quartier où nous logeons (sorte de ghetto à touristes baba-cools) devient à chaque jour un peu plus insupportable. Nos amis faisaient office de paravent on dirait, si je peux m'exprimer ainsi. Cela dit, je ne veux pas faire ma difficile, mais j'ai pour mon dire que lorsque, en voyage, il y a plus de touristes que de locaux, disons que l'expérience manque pour le moins d'authenticité. Voilà c'est dit.
Il nous faut quitter la chaude et bruyante ville. C'est ce que nous nous apprêtons à faire demain. Direction : le nord du pays. Nous nous arrêterons d'abord à Ayuthaya avant de monter vers Chiang Mai.
Bangkok reste à découvrir. La chaleur et la pollution qui y règnent font qu'il est harassant d'y circuler. Sa dimension nous oblige à faire de grandes distances pour visiter différents quartiers. Nous nous promettons de prendre encore un peu de temps à la fin du voyage pour faire davantage connaissance avec la capitale thaïlandaise.
C'est au moins ça de décidé pour le moment.
Cette fois, nous projetions d'acheter nos billets sur place pour la Birmanie. Mais après nous être informés davantage sur le tourisme là-bas, nous avons convenu de ne pas y aller puisque depuis deux ans le nombre de touristes a explosé et que les birmans ne réussisisent pas à répondre à la demande. Cela crée une inflation extraordinaire et demande trop de réservations et de préparation à notre goût. - Nous aimons bien improviser, aller et venir à notre gré. - Nous réfléchissons encore à notre itinéraire, c'est pour vous dire.
Le plus étrange, c'est que lors de ces deux séjours impromptus en Thaïlande, nous y avons retrouvé avec bonheur nos amis Hocine et Bénédicte. Depuis notre arrivée à Bangkok, nous avons bien profité de leur présence soit en nous baladant tous les quatre dans Bangkok, soit en buvant une Chang à l'apéro ou en partageant nos savoureux repas thaïs. Dans la rue comme dans les restos, la nourriture est toujours excellente.
Ces séjours improvisés en Thaïlande nous laissent quand même un peu perplexes. D'autant plus que les deux fois nous y avons croisé nos amis!... Comme si la vie nous rappelait qu'il est temps de nous retrouver.
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| Le penseur de Bangkok |
Hocine et Béné sont maintenant rentrés chez eux à Orchaise et le quartier où nous logeons (sorte de ghetto à touristes baba-cools) devient à chaque jour un peu plus insupportable. Nos amis faisaient office de paravent on dirait, si je peux m'exprimer ainsi. Cela dit, je ne veux pas faire ma difficile, mais j'ai pour mon dire que lorsque, en voyage, il y a plus de touristes que de locaux, disons que l'expérience manque pour le moins d'authenticité. Voilà c'est dit.
Il nous faut quitter la chaude et bruyante ville. C'est ce que nous nous apprêtons à faire demain. Direction : le nord du pays. Nous nous arrêterons d'abord à Ayuthaya avant de monter vers Chiang Mai.
Bangkok reste à découvrir. La chaleur et la pollution qui y règnent font qu'il est harassant d'y circuler. Sa dimension nous oblige à faire de grandes distances pour visiter différents quartiers. Nous nous promettons de prendre encore un peu de temps à la fin du voyage pour faire davantage connaissance avec la capitale thaïlandaise.
C'est au moins ça de décidé pour le moment.
dimanche 3 février 2013
Modernité abandonnée
Étrangement, quelques édifices plutôt modernes du centre-ville étaient laissés à l'abandon alors qu'autour des constructions apparemment plus vieilles étaient occupées.
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